La dernière nouvelle Lune avant l'éclipse totale du 21 août a été le théâtre d'un événement particulier. Un avion de la compagnie Aigle Azur a été immobilisé pendant "près de 33 heures" à l'aéroport de Bordeaux en raison d'un problème technique et de la santé d'un pilote. (Source).

Cette information, présentée par les médias comme essentielle, laisse présager de la présence d'une structure symbolique au cœur du récit. L'avion devait décoller à 14h le vendredi 21 Juillet avec ses "environ 180 passagers" mais n'y parvenait que le lendemain vers 22h40, cumulant ainsi un retard de "près de 33 heures" au départ de Bordeaux.

a) Cette longue attente de 33 heures dans la ville du célèbre port de Lune nous renvoie à de grands symboles ésotériques en rapport à la gestation dans les eaux de la déesse et à la naissance dans un nouvel état de conscience et d'existence.

33 est le code postal de Bordeaux, c'est aussi le degré d'exaltation de la Lune en astrologie, l'astre des eaux formatrices porteuses de l'Esprit. Ce nombre est par extension devenu le plus haut degré d'initiation, l'âge de la mort et résurrection du Christ, le nombre de degrés maçonniques, mais aussi le nombre de vertèbres de la colonne vertébrale (de même que le christ est crucifié au Golgotha, qui signifie "lieu du crâne", autrement dit le lieu situé au sommet de la colonne initiatique).

Chaque heure d'attente pour ces passagers se transforme alors en degré ou palier d'initiation avant l'élévation et la traversée vers "l'autre rive" par-delà la mer méditerranée, symbole du passage vers un nouvel état d'existence.

La destination du vol était en effet Alger, la ville surnommée El Bahdja ("la joyeuse"), El Mahrussa ("la bien-gardée") ou El Beida ("la blanche"), des termes et formules en référence à la terre d'immortalité que nul profane peut atteindre sans devoir passer par un certain processus initiatique.


b) Les "eaux divines" sont aussi des attributs propres à Neptune, le principe divin pourvu d'un trident royal, ce qui ne manque pas d'être souligné ici par de multiples manières.

A commencer par l'atterrissage du vol pour l'ouverture des Neptunalia. Ensuite, la particularité de Neptune d'un point de vue astronomique est qu'il sortait de l'horizon visible d'Alger au moment de cet atterrissage et que cet astre se trouvait précisément sur les eaux qui s'écoulent de la jarre du Verseau, autre zone stellaire relative à la résurrection par les eaux.


Vagues qui rappellent les eaux de la jarre du Verseau

L'attribut neptunien est le trident, qui sous forme royale devient la fleur de Lys, l'héraldique de l'île de France (autre symbole de "l'île d'immortalité" étroitement liée à la déesse) est par exemple "d'azur à trois fleurs de lys d'or", dont l'azur serait un symbole cryptique des eaux océaniques ou célestes virginales. Ainsi le numéro de ce vol, ZI737, pourrait-il cacher une fois retourné une référence au Lys, qui s'écrit aussi Lis, ZI737 → LELIZ → LE LIS. 

Un lien d'autant plus possible qu'il manquait une pièce pour permettre le décollage de l'avion (le thème de la pièce manquante, comme le phallus d'Osiris, est un thème phare de l'initiation) et que celle-ci a dû être acheminée depuis Roissy, commune dont le blason représente à la fois des vagues et ces lis sur bleu d'azur.

Blason de Roissy


c) La Lune croisait donc le Soleil au moment de cet événement (nouvelle Lune), mais elle n'était pas suffisamment proche de l'écliptique du Soleil pour former une éclipse, ce qui n'est pas le cas, par contre, de la nouvelle Lune suivante, puisqu'elle formait une grande éclipse. 

Nous étions alors à 33 jours d'une configuration astronomique mariale particulière qui voyait la constellation de la Vierge prendre la forme d'un célèbre verset du livre de l'apocalypse: 

"Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête. Elle était enceinte, et elle criait, étant en travail et dans les douleurs de l'enfantement." Apocalypse 12:1-2.

Configuration du 23/9 en lien avec Apocalypse 12:1-2

En effet, la Lune formait un croissant sous ses pieds, le Soleil l'enveloppait et Mars, Mercure et Venus venaient s'ajouter aux huit étoiles principales du Lion, formant ces "douze étoiles sur sa tête" évoquées dans le verset. Jupiter, l'astre divin, était alors au niveau de son entre-jambe, symbolisant bien l'enfantement.

A noter que cette étonnante configuration s'est produite quelques jours après la terrible dévastation de Porto Rico par l'Ouragan Maria, qui provoquait dans le même temps la rupture d'un de ses barrages, autre symbole de la perte des eaux en rapport à l'enfantement.

Le gouvernement de Porto Rico a indiqué un bilan de 64 victimes, un nombre en rapport aux eaux formelles et lunaires de la manifestation (les 64 cases Yin et Yang du jeu d'échec, les 64 hexagrammes du Yi King, les 64 jours qui séparent la configuration astronomique virginale du retard du vol évoqué dans cet article...), qui en tant que 8*8 est aussi un symbole initiatique et hermétique.

Nous apprenions plus tard que la réalité était plus proche de 3000 victimes, même si ce nouveau chiffre donné par le gouvernement américain, qui est précisément 2975, pose tout autant question puisqu'il semble aussi avoir été choisi selon une logique ésotérique particulière, sa factorisation en 5*5*7*17 ou 5*5*119 laissant apparaître des chiffres tout aussi liés à la déesse et au processus initiatique de résurrection (cf. les nombres 5, 55, 717 et 119).

Toute cette représentation religieuse et mythologique concordait donc avec ces 33 heures de retard du vol Aigle Azur et la gestation royale qui s'y rapporte, en témoigne aussi la présence de Jupiter au niveau du ventre de la Vierge à cette période, tandis que l'avion appartenait à la compagnie grecque Olympus Airways (Jupiter étant la grande divinité principale de l'Olympe).

Terminons par remarquer qu'il y avait 180 passagers, soit le nombre de degrés nécessaires à la formation d'un triangle (quelque soit sa forme) ou d'un arc de cercle en tant que PI radian. Le décollage s'est effectué le 22/7, soit la date qui forme la plus petite fraction de PI connue.

L'Aigle Azur, les 33 heures, les 180 passagers, le 22/7, tout ceci assemblé pourrait bien dessiner ce schéma particulier, qui correspond parfaitement au sujet:


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