Après une phase de mort et résurrection mondiale symbolisée par le
confinement, puis la sortie de la caverne qui en découle (figurée par
l'autorisation de ressortir véritablement de notre habitat, non sans ironie en
France le jour de Lag Ba'Omer, la fête en l'honneur d'un rabbin ayant reçu
l'illumination après de longues années de réclusion au sein d'une caverne),
nous remarquions que le symbolisme vers lequel se tournaient tous les regards
les mois qui suivirent correspondait à celui du triangle et de l'oeil,
littéralement le (variant) Delta et l'Omicron, ce qui venait là achever
l'ascension figurative de l'invariable montagne cosmique (dont le Mont Méron
où repose le rabbin en question est une image parmi d'autres, notez par
ailleurs qu'en guématrie classique "הר מירון" (mont Méron) = 511, ce qui
constitue un joli "clin d'oeil" à la date du 11/5, jour du déconfinement).
Survenait ensuite la guerre en Ukraine, pays affilié à la "Stefania mama", la Reine du Ciel et de la Terre couronnée, dont le drapeau met justement en évidence le code couleur jaune et bleu, lumière et ciel, illustrant là le parfait équilibre et mélange de l'essence solaire et de la substance lunaire universelle au sommet du toit du monde. La mère Europe, avec son drapeau de la vierge mariale aux douze étoiles, devenait soudainement le centre de toutes les préoccupations.
Dans les articles anticipatifs qui ont suivi, nous évoquions l'atteinte de ce sommet céleste, celui du dôme et du cosmos, notamment dans 2022 et l'accomplissement des grands mystères, avant que ne survienne de fil en aiguille l'immémorial thème de l'éclatement au sein de l'actualité qui, dans le processus initiatique propre au passage extra-cosmique, marque justement cette destruction finale des aspects contingents restants, aussi élevés soient-ils, au profit des principes définitifs et éternels.
C'est un passage du jour à la nuit, la nuit étant ici à rapporter à l'état indifférencié originel situé par nature hors de toute lumière cosmique, là où il n'y a plus de formes densifiées ni de temps ni d'espace, mais un unique "Un" indissocié dans lequel chaque chose réside principiellement. C'est pourquoi ce non-espace intemporel est le coeur, le centre et l'origine de toute chose, "au milieu de vous", car par-delà le voile de la forme changeante et multiple, il demeure.
L'Esprit atteignant la porte du cosmos où réside le Soleil, l'oeil au sommet du dome, va pouvoir effectuer la "sortie extravéhiculaire", un thème placé devant notre regard au quotidien via des logos comme La Poste, Opel ou Lufthansa (observé dans le cadre du vol Germanwings sinistré dans le Vernet, lieu de disparition de l'enfant Soleil). Alors est franchie la "porte étroite" menant à la "sortie de la matrice" (Omicron, à ce propos, s'il signifie originellement "oeil", signifie aussi "petit o").
Ont ensuite été couverts sur le blog les jeux olympiques de Paris, la mythique Lutèce liée par son histoire et sa symbolique à l'île immaculée des origines (le lieu unique entouré par les eaux formelles universelles) et à la déesse des eaux indifférenciées par lesquelles l'Esprit solaire, parfois figuré par le Soleil lui-même, va pouvoir être purifié, "éclaté" de son aspect mortel, avant de rejoindre l'éternité définitive, située au-delà des domaines manifestés (jour) et non-manifestés (nuit), là où se trouve la source incommunicable, le suprême principe indescriptible, le zéro métaphysique hors de toute unité effective (l'unité étant un aspect propre à la totalité formelle et informelle, l'infini principe ne peut s'y limiter ni s'y enfermer, étant au-delà de l'unité même, rien ne peut le limiter, pas même le néant, s'il avait pu exister).
Pour comprendre maintenant ce vers quoi nous mène la suite du récit universel, qui passe évidemment par 2025, nous devons continuer de dérouler la logique initiatique explicitée par tous les courants traditionnels et dont on retrouve des traces dans l'actualité même, comme nous nous sommes particulièrement attachés à le faire jusqu'ici.
Ces derniers temps, vous avez sans doute pu voir passer le symbolisme de la chute du principe divin dans le monde manifesté, qui concerne justement la suite du récit qui nous occupe. L'image officielle de la cérémonie de clôture des JO est à cet égard très explicite:
Tout comme la
bande annonce massivement promue du retour du Héros phénomène Superman, où
l'Homme céleste est présenté sinistré sur la terre ferme après une lourde
chute dans de hautes montagnes aux allures polaires.
Notre Héros est alors mutilé, privé de ses pouvoirs, souffrant de la pesenteur terrestre, tout comme l'être céleste des JO qui peine à se réaproprier ses mouvements une fois son atterissage effectué. Pour en comprendre le sens, il faut se souvenir que l'être en voie de libération, pour accomplir les grands mystères et sortir définitivement du cosmos, doit laisser derrière lui tous ses états contingents périssables et temporels, jusqu'à se réapproprier l'état originel. Devenu un récipient vidé de toute image, l'Esprit extracosmique, de nature suprahumaine, peut alors venir s'établir en lui, plus rien n'y faisant barrière ni obstacle, pas même la densité corporelle, ce qui marque alors, en Soi-même, la naissance du Soi inconditionné.
Cependant, comme pour toute naissance, le Soi inconditionné réintégré est d'abord "mutilé" de ses capacités normales, le plus haut état humain coïncidant avec le plus bas état extracosmique, de même que le sommet du ciel (dome de la caverne) est la base du domaine supérieur, si bien que l'être libéré des contingences doit encore, une fois passé "de l'autre côté", se réapproprier cet état céleste originel. Tout est à réapprendre, ce qui serait impossible sans l'assistance de l'envoyé spirituel, qui n'est pas à différencier de l'Esprit universel, la mère céleste "du bon-secours" venue permettre la salvation définitive.
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Après avoir rédigé ce paragraphe, j'ai tapé "salvation" dans google pour voir ce qui allait en ressortir, ce fût cette image. |
Précisions: aussi étrange que
l'analogie puisse le faire paraître après ce qui vient d'être indiqué, il
est tout à fait possible d'accomplir ce processus au cours de la vie terrestre
humaine et consciente, c'est d'ailleurs tout l'objectif de l'initiation. S'éléver vers les hautes sphères ▲ pour recevoir la force spirituelle ▼ , car
de tout ce qui a été décrit ici, il n'a jamais été question d'aspects
physiques à proprement parler. Tout se déroule à l'intérieur, "au-delà de la forme".
Chez le Yogi parvenu à la libération
définitive, rien n'a bougé dans son aspect visible extérieur, si ce n'est
qu'il rayonne par sa simple présence libérée. "Mourir avant de mourir" dit un
célèbre hadith islamique, car la mort physique n'est que secondaire à l'égard
de la mort du moi individualisé, d'autant que la mort physique ne garantie
absolument pas la fin de l'égarement dans l'état individualisé, certes sous
d'autres conditions mais qui n'ont pas plus à voir avec la libération
définitive (ni avec la réincarnation terrestre, pour ceux qui croient encore à cette ineptie antimétaphysique).
L'être libéré ayant vécu la renaissance spirituelle projette par suite ses rayons sur le monde extérieur, comme le Yogi, non de manière visible pour les regards "profanes" maintenus dans l'oubli extérieur, qui ne peuvent rien voir d'autre que ce qui tombe sous le sens, mais bien effective, ce qui ramène toute chose, par sa simple présence (Shekinah), dans la "rectitude" (au sens axial, cf. les roues accidentées de la cérémonie de cloture des JO que l'être descendu au sein du cosmos vient redresser par sa guidance des êtres contingents).
Il n'est dès lors pas bien compliqué de voir que cette symbolique s'applique figurativement à l'homme "libéré" aux cheveux d'or, Trump, suite à sa disparition et traversée du marais profond endossé par le vieillard Biden (nous le disions, le bident est l'arme d'Hadès/Pluton, dieu des enfers). Désormais accompagné d'Elon Musk (à voir comme son complémentaire Lune), ce dernier a été associé non sans hasard quelques temps plus tôt à l'oiseau bleu de Twitter (l'Esprit), sitôt remplacé par X (la croix, le lieu de croisement des "quatres vents" dont le point central infinitésimal renferme la porte étroite), qui bien sûr se voit endosser le rôle de l'accolyte obnubilé par les hauteurs cosmiques et par la libération des contingences terrestres. Comme les "jumeaux" Macron et Thomas Pesquet dans un autre registre couvert par le passé sur le blog. Doit-on pour autant vénérer ces figures et les voir comme des sauveurs ou des libérateurs, comme j'ai pu l'énoncer dans le cadre de Trump au sein du précédent article ?
Non, pas plus qu'il ne faut voir l'Emmanuel à travers Emmanuel Macron (Monarc) né au solstice d'Hiver, ni le messie à travers Messi ou le christ-roi à travers Christiano Ronaldo. Il est tout à fait normal que certaines figures terrestres fassent directement écho à des réalités d'ordre céleste puisque notre monde n'est qu'une image renversée de cet ordre là, une simple ombre (cf. les ombres de la caverne de Platon) qui peut aussi revêtir des aspects parodiques selon les cas et qu'il faut bien prendre soin de ne pas confondre avec la réalité suprême. De la même façon qu'il ne faut pas vénérer le Soleil pour sa forme, mais bien pour le principe éternel qu'il représente à travers sa lumière. Le Soleil physique s'éteindra un jour. Pas le Soleil spirituel. Ce qui me permet de conclure avec cette splendide citation citée par Joseph Campbell dans son Héros aux mille et un visages:
Merci pour votre lecture,
Metaphi
L'être libéré ayant vécu la renaissance spirituelle projette par suite ses rayons sur le monde extérieur, comme le Yogi, non de manière visible pour les regards "profanes" maintenus dans l'oubli extérieur, qui ne peuvent rien voir d'autre que ce qui tombe sous le sens, mais bien effective, ce qui ramène toute chose, par sa simple présence (Shekinah), dans la "rectitude" (au sens axial, cf. les roues accidentées de la cérémonie de cloture des JO que l'être descendu au sein du cosmos vient redresser par sa guidance des êtres contingents).
Il n'est dès lors pas bien compliqué de voir que cette symbolique s'applique figurativement à l'homme "libéré" aux cheveux d'or, Trump, suite à sa disparition et traversée du marais profond endossé par le vieillard Biden (nous le disions, le bident est l'arme d'Hadès/Pluton, dieu des enfers). Désormais accompagné d'Elon Musk (à voir comme son complémentaire Lune), ce dernier a été associé non sans hasard quelques temps plus tôt à l'oiseau bleu de Twitter (l'Esprit), sitôt remplacé par X (la croix, le lieu de croisement des "quatres vents" dont le point central infinitésimal renferme la porte étroite), qui bien sûr se voit endosser le rôle de l'accolyte obnubilé par les hauteurs cosmiques et par la libération des contingences terrestres. Comme les "jumeaux" Macron et Thomas Pesquet dans un autre registre couvert par le passé sur le blog. Doit-on pour autant vénérer ces figures et les voir comme des sauveurs ou des libérateurs, comme j'ai pu l'énoncer dans le cadre de Trump au sein du précédent article ?
Non, pas plus qu'il ne faut voir l'Emmanuel à travers Emmanuel Macron (Monarc) né au solstice d'Hiver, ni le messie à travers Messi ou le christ-roi à travers Christiano Ronaldo. Il est tout à fait normal que certaines figures terrestres fassent directement écho à des réalités d'ordre céleste puisque notre monde n'est qu'une image renversée de cet ordre là, une simple ombre (cf. les ombres de la caverne de Platon) qui peut aussi revêtir des aspects parodiques selon les cas et qu'il faut bien prendre soin de ne pas confondre avec la réalité suprême. De la même façon qu'il ne faut pas vénérer le Soleil pour sa forme, mais bien pour le principe éternel qu'il représente à travers sa lumière. Le Soleil physique s'éteindra un jour. Pas le Soleil spirituel. Ce qui me permet de conclure avec cette splendide citation citée par Joseph Campbell dans son Héros aux mille et un visages:
Abraham fut donc laissé dans la grotte, sans nourrice, et il se mit à crier. Dieu fit descendre Gabriel pour lui donner à boire du lait que l'ange faisait couler du petit doigt de la main droite du nourrisson ; celui-ci le suça jusqu'à ce qu'il ait dix jours. Alors il se leva, se mit à marcher et, quittant la grotte, il longea la vallée. Lorsque le soleil se coucha, et qu'il vit les étoiles, il dit : « Voilà donc les dieux. » Mais l'aube survint et l'on ne vit plus les étoiles ; il dit alors : « Je ne les adorerai pas, ce ne sont pas des dieux. » Alors le soleil se leva et il dit : « Ceci est mon dieu, je vais le célébrer. » Mais le soleil, lui aussi, disparut et il dit : « Ce n'est pas un dieu. » Contemplant la lune, il l'accueillit comme divinité digne d'hommages. Puis la lune disparut et il s'écria : « Cela non plus n'est pas un dieu. Est Dieu Celui qui les meut tous. »
Metaphi
3 Commentaires
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Merci pour ce nouvel article qui nous amène encore à prendre plus de hauteur. Car finalement, peu importe les histoires qu'on nous (se) raconte pour tenter d'expliquer la nature de cette réalité... Que notre matrice de réalité soit régulièrement programmée par une espèce extra-terrestre utilisant l'IA quantique... que des factions humaines utilisent des techniques de manipulation des masses ou des forces maléfiques de la réalité invisible pour avoir le pouvoir et le conserver...Que nous soyons la nourriture énergétique nécessaire à leur conservation du pouvoir ou simples victimes de l'ingénierie sociale et/ou d'entités sataniques... finalement cela importe peu. La chaîne domination des maîtres -souffrances des esclaves- libération de l'esclavage (bourreau-victime -sauveur) est inhérente à cette condition matérielle...chacun remplit donc son rôle pour le meilleur ou pour le pire. Mais en prenant la peine de se détacher de cette condition temporelle donc temporaire, en observant les évènements marquants de nos vies individuelles ou collectives non comme des événements séparés mais reliés entre eux, on remarque une unité, une invariable structure, un "récit" comme tu dis... cette présence qui se traduit par un langage symbolique universel, cette parole silencieuse et visible à ceux qui veulent la voir, nous rappelant sans cesse les limites du cycle matériel, s'avère être en dedans et au-delà de tout ce qui existe, une expression du "Verbe" divin.
RépondreSupprimerDaurys
Le 2 avril 2025, soit cinq jours après la publication de votre article, Nintendo a annoncé la prochaine sortie de Donkey Kong Bananza sur Switch 2. Or, il s'avère que Donkey Kong Bananza est une sorte de synthèse de votre article !

RépondreSupprimerVoici sa jaquette officielle :
L'artwork de cette jaquette ne fait-il pas écho à l'affiche de la cérémonie de clôture des JO de Paris ainsi qu'à l'affiche de la saison 1 de Salvation ? Plus précisément, cet artwork ne montre-t-il pas ce qu'il adviendra lorsque l'astéroïde touchera le sol ? Il est clair que Donkey Kong fait ici office "d'homme-astéroïde" qui a percuté la Terre. C'est pourquoi, tout au long du jeu, Donkey Kong sera accompagné d'un nouvel associé, un "rocher volant" (le rocher violet visible sur la jaquette).
Maintenant que vous avez cette analogie en tête, ouvrez et parcourez ce lien : https://www.nintendo.com/fr-ca/gaming-systems/switch-2/featured-games/donkey-kong-bananza/
On y découvre que Donkey Kong évoluera dans un monde ouvert dans lequel il détruira tout sur son passage. Il creusera grottes, cavernes et tunnels, en hauteur (dans les montagnes) ou sous terre (dans le sol). Il balancera d'énormes rochers qui exploseront au contact d'un obstacle, tels des astéroïdes percutant la Terre ! Cette destruction permettra à Donkey Kong de retrouver des bouts de bananes ressemblants à des pépites d'or (une référence à l'Or alchimique ?) ainsi qu'à des pierres précieuses (une référence à la Pierre philosophale ?)...
Donkey Kong est un "super homme", à la manière de Superman. Les deux personnages se font grandement écho. Preuve en est, Donkey Kong porte sur sa poitrine sa célèbre cravate (rouge) sur laquelle sont brodées (en jaune) ses initiales DK, tandis que sur la poitrine de Superman se trouve son célèbre S (en rouge sur fond jaune) !
Donkey Kong est surtout un "homme-singe" très violent, à la manière de "l'homme primaire" que l'on voit au tout début du film 2001 l'Odyssée de l'Espace.
Le nouveau film Superman sortira en salle le 11 juillet. Quant au nouveau jeu Donkey Kong, il sortira le 17 juillet. Pile entre ces deux dates, il y aura le 14 juillet, la fête de la Révolution Française.
La "révolution" est justement engrammée dans Donkey Kong Bananza puisque la présentation de ce jeu (cf. le lien que je vous ai donné ci-dessus) débute par la phrase : "Une aventure révolutionnaire avec Donkey Kong".
Par ailleurs, la Révolution du 14 juillet permet à notre actuel chef des armées ("le maléfique Macron") de fanfaronner à la face du monde. Or, Macron n'est-il pas un "super homme" (Zeus/Jupiter) qui a pour but de tout détruire pour mieux reconstruire ?... En tous les cas, les éclairs de Zeus se retrouvent sur la jaquette du nouveau jeu de Nintendo...
La France macronienne, c'est-à-dire une France maléfique et destructrice, se retrouve autrement dans Donkey Kong Bananza. En effet, Donkey Kong devra faire face à une organisation maléfique : la VoidCo (la Compagnie du Vide ?). Or, en français, cela donne "la VideCo", c'est-à-dire "la Covid" ! Il s'agit ici d'un probable clin d'œil des développeurs au laboratoire P4 de Wuhan (d'origine française), le jeu ayant probablement été développé durant cette période. Quoi qu'il en soit, le nom "VideCo" renvoie au "non-espace intemporel", au "zéro métaphysique" et au "récipient vidé de toute image", des termes judicieusement cités dans l'article.
Hello Khristof, effectivement on peut y voir une certaine analogie, Donkey Kong est un peu comme un gorille "illuminé" par rapport aux autres de son espèce. Sa force brutale lui permet de traverser la forme extérieure pratiquement à sa guise, comme l'initié peut percer le voile des apparences à chaque instant. Sur la jaquette, il est présenté comme l'Esprit venu frapper le monde afin d'en détruire les éléments de forme et de mortalité.
SupprimerA la manière de nombreux jeux vidéos, le point de départ de sa quête correspond à un réveil, figuré ici par sa première cassure du voile de la caverne (il porte alors le troisième oeil qui éclaire son passage). Commence alors sa véritable initiation, qui le mène à collecter des artefacts cachés sous la terre (VITRIOL alchimique) semblables à de l'or spirituel pour s'élever et éviter les pièges extérieurs, d'échelons en échelons, jusqu'au sommet du jeu, qui correspond alors au sommet de sa nouvelle condition.
Sinon, le fait que la vidéo se termine par une pierre qui l'anéantit alors qu'il a l'air un peu perdu, avec la date du 17/7, jour de la déesse Isis du calendrier égyptien, ramène aussi d'une certaine manière à cette conception de la descente de l'Esprit sur lui. Isis est pour rappel une autre forme de la mère céleste "du bon-secours", elle vient "réunir ce qui est épars" (l'Osiris perdu et séparé dans la multitude des formes) pour ensuite, par son action salvatrice et son union à lui, donner naissance à Horus, le divin possesseur unifié du Soi inconditionné (dont il devra encore développer certaines modalités particulières après sa naissance, traduire sa puissance en acte, toujours avec l'aide divine de l'Esprit universel, pour pouvoir en réaliser pleinement et totalement tous les aspects).