J'aimerais attirer votre attention sur l'élection récente du pape Léon XIV, son rapport avec la prophétie de Malachie et le symbolisme en lien avec ce que nous observons habituellement dans le déroulé de l'espace-temps mondial. 


Bonne lecture,
Metaphi

La prophétie de Malachie, datée du XIIe siècle mais qui n'aurait été écrite qu'au XVIe siècle par un certain Arnold de Wion, donne la liste de 111 devises latines, chacune associée à un pape et antipape censé advenir de Célestin II jusqu'à celui que l'histoire aura retenu sous le nom de Benoit XVI. La liste s'arrête ensuite et laisse place à ce texte mystérieux:

"Dans la dernière persécution de la SRE (Sancta Romana Ecclesia : Sainte Eglise Romaine) siégera Pierre Rom. (Pierre le Romain) qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations; celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite; et le Juge redoutable jugera son peuple".

Il n'est pas précisé explicitement si la liste doit se poursuivre officieusement au-delà du 111e pape (nombre de la trinité) jusqu'aux temps de Pierre le Romain, qui se situeraient alors à une distance indéterminée de la liste, ou s'il s'agit bien de l'unique successeur de cette même liste. Pierre le Romain pourrait aussi très bien être un symbole des différents souverains pontifes (évêques de Rome de l'église de Saint Pierre) qui siègeront après le 111e de la liste (Benoit XVI) jusqu'au Jugement dernier.

La surprenante démission de Benoit XVI était annoncée un 11/2 et rendue effective le jour de la saint Romain, ce qui pourrait faire référence à ce 112e et ultime pape de la prophétie, Pierre le Romain. Dans ces conditions, le pape François devait soit incarner cet ultime personnage de la fin des temps, soit marquer le "début de la fin" avec les différents pontifes à venir réunis sous le nom de Pierre le Romain.

Quoi qu'il en soit, ni la réponse à ces questions littérales ni la véracité même de la prophétie n'aura d'importance pour nous puisque ce qui va nous intéresser ici, c'est l'invariable structure symbolique qui occupe le cœur même de son déroulement et qui est en étroite correspondance avec l'actualité mondiale.

Pour commencer, remarquons que les trois dernières devises papales de la prophétie forment une suite logique classique :

- De medietate lunae (dans la moitié d’une lune)
- De labore solis (du travail du soleil)
- Gloria olivae (gloire de l’olivier)

"De medietate lunae" correspondait à Jean-Paul I, de son vrai nom Albino (relatif au blanc), dit "pape du sourire" (l'arc-Lune). Son pontificat durait environ un mois (un mois/month/moon étant basé sur une division lunaire du calendrier). Son blason comme sa devise "humilité" ramènent aux conceptions intériorisantes lunaires.

"De labore solis" correspondait ensuite à Jean-Paul II (le jumeau-soleil), de son vrai nom Karol, nom en rapport à la "virilité solaire". Sa devise réelle "Je suis tout à toi, Marie" montre le mélange actif-passif entre les aspects complémentaires Lune / Soleil, ce dernier devant servir d'offrande à la Vierge éternelle (se sacrifier en se virginisant lui-même (expiation) pour redevenir pure lumière, cf. les trois phases du grand œuvre et la mort initiatique déjà abordée sur le blog).

"Gloria olivae", enfin, désigne Benoit XVI, de son vrai nom Joseph (troisième terme implicite de la trinité père-mère-fils, Joseph étant le nom de l'époux de la Vierge Marie et père nourricier de Jésus), tandis que l'Olivier est l'arbre lumière "Axe du monde" qui condense et résout les contraires/complémentaires dans l'unité indissociée du rayon primordial (le Verbe), l'état androgynique originel. Le blason de  Benoit XVI mélange à la fois des couleurs solaires avec des attributs lunaires. Sa devise est "Nous devons servir de cette manière que nous soyons coopérateurs de la vérité", ce qui inclut l'idée d'action (coopérateurs) et de passivité (servir) à l'égard de la vérité essentielle.

Blason de Benoit XVI

Note: l’ordre des Olivétains (Bénédictins blancs de l'ordre de Saint-Benoît) doit son nom à leur première abbaye fondée par Bernard Tolomei à Monte Oliveto (Italie) en 1313. Les branches d'olivier sont leur symbole. Bernard Tolomei a été canonisé par Benoît XVI le 26 avril 2009, ce qui constitue un autre lien évident à la prophétie.

Vous l'avez compris, nous avons par ces trois devises l'image classique des luminaires complémentaires Lune / Soleil et de l'Axe du Monde, de la colonne de lumière ou Arbre de Vie "au milieu du Jardin" qui est juxtaposé à celui de la connaissance du Bien et du Mal. Selon cette perspective, la Lune et le Soleil sont les deux pôles de cet arbre secondaire de la connaissance. Voir à ce sujet l'arbre de la kabbale avec les deux colonnes extérieures et la colonne centrale qui condensent ce symbolisme des deux arbres du Jardin. Benoit XVI, en tant que 111e pape de la prophétie, rappelle cette triplicité de l'Arbre Unique ou triple colonnes kabbalistiques.

Résoudre les oppositions nécessite de retirer tout ce qui peut leur donner une apparente contradiction, leur essence étant unique et indivisible, elle constitue la seule réalité, ainsi il faut "séparer le bon grain de l'ivraie", autrement dit écarter l'illusoire séparatif non essentiel pour ne conserver que le réel unifié, opération alchimique de calcination, purification et lavage des contraires (cf l'oeuvre au noir puis au blanc, nigredo puis albedo) qui correspondent précisément au Jugement. 

Le Jugement Dernier n'est autre que ce retour à l'unité du monde originel (yin/yang) où tout ce qui semblait séparer les Hommes (actes, paroles, intentions, crimes etc.) est supprimé, ce qui permet la "résurrection des morts" (le retour des purs états originaux essentiels qui au début des temps de ce cycle ont été "tués" par l'apparition des égos individuels temporaires des créatures qui sont leur forme miroir extérieure spatio-temporelle, menant ainsi à la chute du paradis originel, chute qui a cours jusqu'à la restauration de l'état primordial marqué par le Jugement et la venue de la Jérusalem céleste, l'état originel supra individuel).

Lune, Soleil, Jugement et Monde sont les quatre derniers arcanes du tarot, qui dans le zodiaque pourraient correspondre au Cancer, au Lion, à la Vierge (œuvre au blanc purificateur/jugement) et à la Balance (l'androgyne céleste aux polarités équilibrées né de la Vierge). Nous avions déjà pu pressentir cette logique à l'œuvre dans cet article.

Cartes du tarot Lune, Soleil, Jugement, Monde.

Comparaison pour l'exemple avec la série préquelle des films X-Men dans leur ordre de parution

Il faut voir les cartes Lune et Soleil comme les luminaires "microcosmiques", les Petits Mystères, tandis que le Jugement et le Monde sont ces deux mêmes luminaires dans leur octave supérieure, l'ordre du macrocosme et des Grands Mystères qui est plus essentiel et même principiel puisque le Jugement est plutôt d'essence lunaire (œuvre au blanc alchimique de purification finale) et Le Monde d'essence solaire (œuvre au rouge, Phoenix sortant de ses cendres dans sa plus pure origine). Tout ceci étant à comprendre comme un état de choses perpétuellement réalisé allant du centre essentiel vers la circonférence substantielle et non comme une simple succession temporelle linéaire, ce qui signifie qu'à tout moment, plus notre regard se rapproche du centre universel (cœur de toute chose) et plus l'essence éternelle indissociée se révèle par-delà les apparences, derrière la porte-mandorle qui sépare les mondes.

Benoit XVI clôturait logiquement les petits mystères en incarnant la synthèse des deux luminaires. Le soir de l'annonce de sa démission, la foudre frappait le Vatican, ce qui rappelait à la fois l'arcane XVI du tarot (la tour dont chutent les jumeaux, voir le rapport entre ce 111e pape de la prophétie et le 111e jour de l'année (11 septembre) qui voyait s'effondrer les tours jumelles de "New-York" = 111) et l'illumination de l'Arbre-lumière que ce pape incarnait par sa devise prophétique.

La foudre s'abat sur le Vatican le soir de la démission de Benoit XVI 

Le pape François qui lui succédait et dont on ignore s'il devait être ce fameux "Pierre le Romain" nous quittait donc un 111e jour de l'année, en pleine fête de la résurrection (Pâques). Par sa pauvreté et sa tenue sobre, il était lié au symbolisme macrocosmique de la Lune qui permet à la fois le jugement et la résurrection (d'où son décès le Lune-di de Pâques). BenJ nous faisait remarquer l'aspect Yin et Yang de ses rencontres avec Obama à l'époque, or ce sont aussi les deux phases noires et blanches de la Lune qu'ils incarnaient. Deux rencontres qui eurent lieu aux équinoxes d'automne et de printemps (équilibre jour/nuit, l'horizontalité lunaire, là où les solstices sont la verticalité solaire).

François et Obama

♋︎

Le successeur du pape François est donc Léon XIV, un nom qui désigne directement le Soleil (Léon/Léo/Lion) et qui, comme Trump vis-à-vis d'Obama/Biden ou Macron vis-à-vis du pluvieux Hollande (voir cet article à ce sujet, partie b) semble représenter à son tour le Soleil "sorti des eaux".

Dans un article du blog dédié à l'aspect féminin du monde et son rapport au nombre 13, écrit en 2016, étaient déjà indiquées ces quelques lignes : "Autre acteur du renouveau dont on a appuyé grassement la symbolique du 13, le pape François, élu et présenté au monde un 13/03/13 à 20h13, alors que la constellation de la Vierge s'élevait à l'horizon du Vatican, qui plus est avec ce fin croissant de la Lune renaissante annonciatrice des temps nouveaux à venir. 

Ainsi, si le pape François est affilié pour une raison ou pour une autre à la Lune, alors la logique voudrait que le pape suivant le sera au Soleil, conformément à l'ordre des arcanes du Tarot et du zodiaque, tous deux calqués sur une logique universelle."

Rappel de la carte Trump Judgment/Monde sur la couverture de The Economist

François et Leo XIV rappellent aussi par leur nom papal les rois de France Louis XIII et Louis XIV (dit Roi Soleil, Louis = lumière) qui ont formé la même logique symbolique successive avant que Louis XV dit "le juste" (justice) et surtout le terrible jugement à l'encontre du roi suivant, Louis XVI, ne viennent clore la monarchie française au profit du nouveau monde. On peut dire que la foudre s'est abattue sur lui.
 
Benoit XVI et Louis XVI, comme l'arcane XVI du tarot, ont donc marqué une importante rupture dans le déroulé temporel systémique par le jugement de l'ancien monde ou système (via des "tribulations") au profit du nouvel ordre émergeant. J'avais par ailleurs évoqué le risque de troubles sans retour en arrière possible en cas d'activation de l'article 16 de la constitution, une idée qui reste valable pour la suite.

Alors la question se pose, doit-on s'attendre à ce que les figures solaires actuelles incarnées par Trump, Léon XIV, Macron et autres similaires n'aient pas plus de deux successeurs (Jugement et Monde) avant la fin du système démocratique occidental et de la papauté tels que nous les avons connus jusqu'à aujourd'hui ? Ce qui pourrait se traduire par un bouleversement croissant sous les deux prochains mandats présidentiels étendus de 2027 à 2037 avant la fin du système démocratique, ou tout du moins la transition vers une autre méthode de fonctionnement.

Note: il va de soit que selon cette hypothèse, la "résurrection" d'entre-deux tours de Macron face à Marine, la victoire contre le marais profond Biden/Harris de Trump et le passage de Leon XIV après François ne constituent qu'un aperçu de ce qui doit advenir lors des tribulations finales où tout un mandat doit incarner le Jugement supérieur avant la résurrection/le Monde, provoquant une rupture profonde et définitive dans notre époque. La difficulté de cet exercice d'analyse réside dans le fait que tous les cycles et symboles affiliés sont interpénétrés, si bien qu'un événement microcosmique peut se situer aussi dans une temporalité macrocosmique plus vaste similaire, ce qui rend compliqué le strict découpage des événements selon l'ordre exact pour telle ou telle période de temps. Pour reprendre l'exemple des films X-Men qui suivent la trame symbolique, chaque film peut lui-même contenir cette même trame dans son déroulement, et même plusieurs fois en guise de reflet du reflet (effet fractal) etc.

Ajoutons à ce propos que 2027 pour le prochain mandat tombe bien puisque ce nombre évoque le nombre marial 227, la Vierge "Albedo" qui marquera une étape autrement supérieure du Jugement, la vesica / mandorle virginale qui contient en son sein l'androgyne éternellement non-né (l'essence indivisée).

Par ailleurs, c'est le jour de la célébration des 227 ans de la fête nationale qu'un islamiste "lunaire" perpétrait un terrible attentat avec un camion blanc sur la Promenade des anglais (angels / anges) à Nice, ville dont le blason représente un Phoenix sortant des eaux isiaques. L'organisation qui revendiquait l'attaque se nommait alors ISIS à l'international. C'était le troisième et dernier attentat d'ampleur sur le sol français (en rapport au symbolisme de la déesse-lune triple ? Le fait que la plaque d'immatriculation du camion donnait une valeur totale de 303, nombre équivalent au symbole de cette déesse ↃOC ou triple porte 101, donne certainement la réponse...), sachant que tous se sont produits sous le mandat d'Hollande / Lune. Rappelons aussi que le 14 juillet correspond, dans l'ancien calendrier égyptien basé sur le levé héliaque de Sirius, à la naissance d'Osiris (1er jour épagomène), la divinité ressuscitée en Horus / Phoenix par sa femme, sœur et mère (en tant mère d'Horus), Isis. 

Au moment de ce dramatique événement à Nice, les étoiles du Verseau se levaient à l'Est, signe qui succède aux Poissons (Jugement des péchés sur la croix), Bélier (Soleil) et Taureau (Lune) et qui doit permettre le retour du Messie / Christ Roi / NWO (Lion du signe opposé) selon la doctrine des ères astrologiques. La Lune se trouvait quant à elle dans les étoiles de la Balance. La "Vierge Marine le Pen" avec son logo de campagne de la rose sans épines (surnom de la Vierge) venait ensuite fouler du pied la Promenade des anglais en plein "mois du Verseau" (calendrier solaire tropical) dans le cadre de la campagne présidentielle de 2017 qui propulsa le roitelet Macron à la tête du pays. Un festival se tient régulièrement dans cette même ville pendant le mois du Verseau. Celui de 2017 était dédié au "Roi de l'énergie" dont l'effigie, fait exceptionnel, n'a pas été brulée comme à l'accoutumée sur la plage de la promenade des anglais, mais plus loin, place Masséna, du nom d'un militaire français surnommé par Napoléon "l'enfant chéri de la victoire". Une place qui possède sur son sol un pavé mosaïque (union yin/yang, eaux de nativité), une fontaine avec se tenant debout dessus un roi nu (virginité initiatique). 

Dans ce zodiaque calendaire annuel, qui n'a rien de stellaire, l'équinoxe d'automne (23/9 - Yin/Yang - The Fall / la Chute) est censée coïncider avec l'entrée dans le signe de la Balance, raison sans doute pour laquelle certains occultistes y voient une période propice aux travaux alchimiques visant à restaurer le Soleil ancien pendant sa chute pour assurer sa résurrection au solstice d'Hiver (et jusqu'au printemps). C'est pour cette même raison que les travaux maçonnique s'effectuent de midi à minuit, c'est-à-dire dans le sens de la descente (the fall) de la pure lumière (solstice d'été) jusqu'aux ténèbres les plus obscures (solstice d'hiver) pour assurer le retour de la lumière éternellement victorieuse. L'équinoxe d'automne marque alors le point d'équilibre entre ces deux pôles Yin et Yang de l'année que l'androgyne réunit en lui. Voir à ce sujet ces travaux de BenJ .

Dans l'Égypte antique, lors du Jugement des morts, le cœur (attribut solaire) du défunt est posé sur une balance, avec une plume sur le deuxième plateau (la plume est le symbole de Maat, la déesse de la vérité). Si le cœur est plus léger que la plume, autrement dit s'il possède l'état virginal, le défunt a été bon dans la vie, il est accepté dans le royaume des Morts (les Vrais Vivants archétypaux). Si le cœur est plus lourd que la plume, le mort est avalé par Ammout (œuvre au noir de calcination de l'impur).

Comme tout doit être synchronisé car "tout est Un dans l'illusoire multiple", notez le rapport iconographique entre les Jeux Olympiques qui doivent se produire en 2028 (28 nombre associé à la Lune), ceux de 2032 et les deux derniers arcanes du tarot:

Les JO de 2028 à Los Angeles (logo transitoire), 28 chiffre de la Lune

Les JO de 2032 sont annoncés à Brisbane (blason ci-haut, le logo de ces jeux n'existant pas encore), Queensland, Australie. Brisbane signifie passage blanc (naissance par l'utérus / mandorle / œuvre au blanc de l'androgyne figuré sur le blason par les serpents entrelacés sortant des eaux, la couronne, les quatre évangélistes suggérés etc.)

2032 c'est 232 ou II 3 II, la trine-unité, l'androgyne réunifié derrière la porte de nativité (mandorle) ou "colonnes doubles" des quatre évangélistes/points cardinaux/solstice et équinoxes etc.

Dans la kabbale, la remontée de l'axe principal se fait selon le même enchaînement: Malkuth (Royaume), Yesod (Lune / Obama / pape François / Hollande etc.), Tipheret (Soleil / Trump / Léon / Macron etc.), Daath (Abime / Vierge / 227 / Albedo), Kether (Couronnement / Essence originelle / résurrection éternelle indistincte avant l'ineffable).

L'arbre de la kabbale

Le cœur/Soleil est attribué à Tipheret, la sixième sephira de l'arbre et au Lion dans le zodiaque, or un cœur se trouve bien sur le blason du pape Léon XIV. Son élection a été l'occasion de faire une vaste promotion du film "conclave" sorti quelques mois plus tôt (conclave → avec clés, les deux clés lune/soleil croisées réunies dans le centre / cœur X), dont l'affiche semblait suggérer par sa couleur la cavité du cœur, lieu de réception du "Spiritus Sancti" illuminateur censé permettre de choisir non pas humainement, mais divinement le nouveau pape, "à huit clos". 

Affiche du film Conclave

Il s'agit de l'intérieur de la chapelle Sixtine, dont le nom provient du 212e pape, Sixte IV, lui-même issu de "sixième". Les médias ne tardèrent pas à nous présenter l'ancien logement de Léon XIV, situé au numéro 212 (voir 2012 et son miroir 2102 → SION, année de Jugement / Purification / fin du monde / refuge au sommet de la sainte montagne). A noter que le slogan de Léon XIV est "In illo uno unum", qui signifie "En celui qui est un, soyons un", ce qui constitue là aussi un rapport étroit avec le symbolisme central du cœur, siège de l'unité.

Ancien lieu d'habitation de Léon XIV, n° 212

Il est né le jour de la "vraie sainte croix", un 14 septembre (le 14/7 de l'ancien calendrier), même jour de l'année où était fait chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur le "roi Léon Marchand", sportif olympique victorieux des jeux de 2024 porté par les eaux et résidant à Phoenix. Avec son "allure du Petit Prince", c'est lui qui se chargeait d'éteindre la vasque olympique à la fin des jeux devant des millions de téléspectateurs, actant la fin de ce cycle "microcosmique" olympique.

Note: le 14 septembre 1987, le Pape Jean Paul II visitait la banlieue de Phoenix, à Tempe. Il y a tenu une messe au stade Sun Devil Stadium. Tous les logos Sun Devil et le mot Devil (diable) durent être dissimulés pour que le pape accepte d'entrer dans le stade. Le Sun Devil Stadium a accueilli le Super Bowl XXX (X = 24 = 6 en réduction, XXX est aussi un symbole de la trinité, cf. Rick Clay), c'était un 1/28, victoire des Dallas Cowboys (=151 comme "Jesus-Christ"), dont le logo est celui de l'étoile bleue (étoile polaire spirituelle).

Terminons ces quelques considérations en remarquant que le passage à la nouvelle année 2025 était marqué par un attentat dans le quartier français de la Nouvelle Orléans, ce qui donnait un certain jeu de mot phonétique avec le nouvel Or Léon pour cette nouvelle année marquée par l'élection de Léon XIV. 2025 c'est 45², la ville française d'Orléans a justement pour code postal 45000 et se trouve située proche du cœur du territoire hexagonal.

N'oublions pas aussi que Trump est arrivé à la tête des Etats-Unis en tant que 45e président, dont Biden semble n'avoir été au final qu'une simple parenthèse utilisée pour que son retour et prolongement propulsé par la "vierge noire" Kamala puisse coïncider avec les autres personnages solaires évoqués, comme celui de Macron, lui aussi propulsé par la "vierge blanche" Marine le Pen. Tout ceci permettait pour eux (qu'ils en aient conscience ou non) d'afficher un symbolisme identique de mort et renaissance ou passage à travers les eaux pour leur propre cycle présidentiel qui, comme nous l'avons vu, pourrait laisser place à l'octave supérieure des aspects lunaires et solaires relatifs au Jugement et au (nouveau) Monde au cours de ces prochaines décennies afin de clore un cycle "inter-présidentiel" autrement plus vaste.

Merci pour votre lecture,
Metaphi