La tentative d'assassinat à l'encontre de Donald Trump cadre parfaitement avec la symbolique observée dans le précédent article (à lire obligatoirement avant de poursuivre celui-ci), nous allons donc revenir ici sur cet événement, ainsi que sur d'autres phénomènes d'actualité qui ont concerné la France ces derniers jours, afin d'enrichir notre analyse avec de nouveaux exemples.

a) Nous remarquions que Trump représentait le Soleil, avec sa crinière d'or (notamment ici), en tant que successeur d'Obama/Lune qui était indirectement générateur de sa "naissance". Doublé lors de la dernière élection présidentielle par Biden, qui est l'archétype de Saturne-Pluton mis au pouvoir par le "marais/état profond" selon nombre de commentateurs, Trump avait donc disparu des radars quelques temps.

Dans le registre de la symbolique, Trump, en tant qu'ancien Soleil, devait d'une manière ou d'une autre mourir à son ancien personnage conspué pour renaître à la pleine lumière divine, comme le retracent de nombreux mythes. "Dieu l'a entouré d'une haie protectrice" s'exclament ses partisans, "J'avais Dieu à mes côtés, j'ai senti cela" et "Seul Dieu a empêché l'impensable" déclarait pour sa part Trump. Le voilà donc entouré d'une aura messianique, tel le nouveau Soleil sauvé des abysses par l'intangible principe. 



La photographie ci-dessus, devenue historique, le présente poing levé après s'être relevé, entouré d'agents de l'ombre chargés de le protéger, ce qui figurait, bien sûr, sa spectaculaire sortie de la caverne en Soleil renouvelé.

La couverture prédictive de The Economist pour 2024 idéalement recadrée, pas besoin d'en dire plus

b) Entrons maintenant dans les arcanes symboliques en rapport avec tout ceci, en commençant par remarquer que l'événement s'est produit en Pennsylvanie, l'un des rares Etats possédant le trois-mâts sur son drapeau, la barque poussée par le souffle divin sur les eaux, avec à son bord le feu sacré:



Le tireur était originaire de Bethel Park, un nom qui, comme le Bélem ou Bethléem, renvoie à la demeure divine. Il s'appelait Thomas, qui veut dire "Jumeaux", les forces antagonistes qu'on retrouve cette fois-ci sur le blason de Bethel Park, équivalentes sans doute à l'arbre de la connaissance du bien et du mal du paradis terrestre, l'idée de maison/parc ayant un rapport certain avec ce lieu originel (ce sont aussi les deux couleurs de la flamme du RN, et plus généralement les aspects illusoirement dissociés de l'unité primordiale à la base de la chute du paradis terrestre vers le domaine phénoménal caractérisé par une croyance en un extérieur au Soi suprême, cf. les oiseaux du logo Germanwings également).

Le triangle vers le bas figure le monde souterrain

Son nom de famille, Crooks, signifie "sans loi" (tel le fou), "malade", "tordu", des termes en rapport avec le Grand Destructeur, le diable (équivalent du grand chasseur ou digesteur divinisant), qui envoie sa flèche empoisonnée sur le néophyte pour lui prodiguer la mort nécessaire à la résurrection. Alex Jones semblait bien inspiré lorsqu'il prévenait d'un empoisonnement à venir de l'ancien président aussitôt après cette tentative d'assassinat.

Crooks vient aussi de Crok, qu'on devine proche, dans la matrice des mots, de Crocus, également observé dans le cadre du Crocus City Hall, qui contenait la même symbolique. D'ailleurs, nous ne l'avions pas notifié, mais au même titre que la racine étymologique KRN renvoie à la hauteur sainte sacrée, KRK/CRK qu'on retrouve dans Crooks/Crocus désigne le géant digesteur, atténuée avec le temps en GRG, à la base de Gargantua, le plus célèbre des anciens personnages initiatiques, devenu par christianisation saint Gorgon, aussi considéré comme un géant. Songeons aussi à la Gorgone, monstre des enfers, qui par son seul regard, pétrifie le périssable et dont le sang, pris sur son côté gauche, donnait un poison fatal et instantané, tandis que sur son côté droit, il prodiguait résurrection.

Continuons notre analyse en remarquant que Trump se trouvait dans la ville de Butler, dans le comté du même nom créé un 12/3 (Soleil) en l'honneur de Richard Butler (=139 en additionnant la valeur des lettres), nom et prénom traduisibles par "riche/roi bouteiller".

Le bouteiller est chargé de l'approvisionnement en vin d'une cour royale, il est donc en étroit rapport avec l'initiateur Bacchus/Dionysos présent sur la butte Montmartre de Paris (ancien mont Mercure), le pendant masculin de la grande chasseresse Diane, dont le rôle est de délivrer le breuvage rituel, l'ambroisie, le soma, l'élixir de vie qui alimente le cosmos. De ce point de vue, si Paris marque l'aspect yin Isis/Diane/Dionysos, qui est la fonction nourricière, Butler, par son nom et sa symbolique, ramène à cette même conception.

c) C'est donc l'oreille de Trump qui a été touchée par le projectile sacralisant, l'organe associé aux vibrations du cosmos (le son est une vibration de l'éther et l'oreille prend, en accord avec cette symbolique, la forme d'une vibration, son rôle originel étant d'entendre le Verbe divin, le fiat lux, l'AUM, la vibration primordiale qui contient toute chose et ordonne les "eaux du chaos" par l'action non-agissante de l'essence principielle).

C'était un 13/7, en écho à 137, le 33e nombre premier, comme nos 33e JO de Paris, 33 le nombre de l'initiatique mort et résurrection. Comme il s'agit d'une année bissextile, cette date coïncidait aussi avec le jour d'Osiris du calendrier égyptien, le 195e jour de l'année, le "vieux Soleil" appelé à renaître en "jeune Soleil" Horus par les entrailles d'Isis. L'élection américaine à venir, à ce propos, se tiendra 195 jours avant un 19/5 (date mémoire du crash du vol Egyptair avec son logo Horus).

Trump a déjà été comparé à un oiseau solaire semblable à Horus par le passé.
 
Le 13/7 est placé 111 jours après un 24/3 (crash du vol Germanwings au Vernet), schéma observé dans cet article (partie f), or c'est justement le 24/3 que les 4 suspects de l'attaque du Crocus City Hall étaient présentés à la justice, accusés d'avoir provoqué la mort "d'au moins 137 personnes". L'un d'eux avait l'oreille droite coupée et donc un gros pansement blanc sur celle-ci, comme Trump.

  
Bien sûr, les détournements n'ont pas tardé, comme le montre l'image ci-dessus, avec cet album de Tintin nommé "l'oreille cassée", l'occasion de présenter une nouvelle fois Trump voguant les eaux marécageuses sur la barque, le "marais" qui veut sa peau, accompagné de Tintin avec son chapeau solaire.

Puisqu'on parle de détournements et pour mieux comprendre la symbolique de l'oreille cassée, il n'y a jamais de hasard, la France souffrait synchroniquement des oreilles à cause du chant destructeur d'Arielle Dombasle, autre avatar de la déesse vêtue de blanc immaculé, avec une robe à l'allure vibratoire, formant bien malgré elle une Inanna/Ishtar de circonstance, la déesse qui, pour rappel, descend dans l'antre des enfers tout en perdant ses vêtements (ses aspects profanes):

Comparaison entre Arielle et Ishtar

L'analogie est d'autant plus convainquante que le son terrible, comme l'oreille percée par le projectile envoyé par le Grand Destructeur, pétrifie, recroqueville l'Homme, l'abaisse vers les profondeurs, il perd l'équilibre, c'est le retour au chaos, tandis que le son divin, au contraire, lorsqu'il est entendu, redonne toute vitalité et verticalité, comme l'élixir sacro-saint. Que ceux qui ont des oreilles entendent, disait le christ.

d) Revenons maintenant en France, avec la baignade d'Anne Hidalgo dans la Seine au niveau du pont Marie, entre le quartier Saint-Paul et l'île Saint-Louis (le pôle et la lumière), le 17/7, jour dédié à Isis (ou Nephtys si l'on veut tenir compte de l'année bissextile, mais la symbolique ne s'en retrouve pas pour autant altérée, cette dernière étant juste un autre aspect de la déesse, comme Inanna/Ishtar/Stella Maris etc).

Hidalgo était accompagnée par une personne qui portait le numéro 1109, qui comme le 11/09, marque la plongée des contraires 1&1 dans les eaux du chaos (9 étant la spirale de retour au principe par la déesse). 


Ce numéro, souvenez-vous, était visible en 2021 sur l'avion de l'armée américaine qui décollait en urgence de Kaboul suite à la reprise le 15 août (assomption/élévation de Marie) de cette ville par les Talibans. Le rapport se trouve bien sûr, outre la date, dans le nom même de Kaboul, qui désigne l'eau, le marais, comme pour tout ce qui touche à la mort du Soleil et aux eaux purificatrices propres à la déesse.


Note: entre un 17/7 et un 11/09 se trouve le 14/8 (en gématrie Emmanuel Macron = 148), c'est le 227e jour de cette année bissextile, nombre déjà observé pour son lien, encore et toujours, à la déesse.

Nous abordions aussi le nombre 55 lié au monde souterrain, il fallait bien sûr qu'Hidalgo fasse son "grand saut" à 9:55 précise ce 17/7, or entre un 17/7 et un 11/09 s'intercalent précisément 55 jours (hors date de début et de fin), là aussi. Si par contre nous incluons la date du 11/09, cela fera 56 jours, comme la gématrie de Hidalgo (=56), le nombre "milieu" du 111 (car situé pile entre 1 et 111), elle qui est née le 111e jour du calendrier de la "vraie lumière" (l'année maçonnique).

Côté sport, nous avons aussi Richard (riche/roi) Carapaz, porteur du dossard 111, qui remportait la 17e étape du tour de France ce 17/7, d'une longueur de 177,8km.

e) Dans la nuit qui suivit, 33 personnes étaient évacuées suite à un incendie meurtrier d'appartement aux Moulins, rue Santoline, à Nice. C'est pour rappel la ville du Phoenix sortant des eaux trines (cf. son blason). Les noms sont ici explicitement symboliques, c'est aux Moulins, or nous avons vu le rapport entre le Moulin et le pôle, le moulin rouge qui perdait ses "ailes" cardinales et laissait voir uniquement "lin rouge", la ligne rouge que le profane ne peut franchir car c'est derrière elle que se retranche le pôle lors de l'enténèbrement cyclique. Concernant la rue, Santoline (Santo et Line/ligne/Lina, proche phonétiquement de sainte Soline, Soleil-Lina), elle vient confirmer une énième fois le rapport entre toutes ces affaires. 

Note; le feu se déclenchait à la 151e minute de la journée, le nombre connu pour son rapport à Jesus-Christ (=151), né de Marie et animé par le feu du Saint-Esprit.

Pour mieux en comprendre le sens, regardons du côté d'un autre incendie récent, celui de la flèche de la cathédrale de Rouen, la ville qui voyait aussi il y a quelques temps un incendie de grande ampleur se dérouler le jour de la mort de Jacques Chirac pour marquer l'embrasement du Phoenix (observé ici). 


La flèche est ici enrobée d'une bâche blanche, la blancheur rituelle de l'initié "sans tâches", mais aussi la déesse, là encore, dans laquelle se produit l'immortalisation par la carbonisation des aspects mortels. 

Le monde souterrain sous l'axis mundi, notez le rapport avec la robe d'Arielle sur cette image

Songeons aussi à la gigantesque panne informatique mondiale qui touchait Microsoft, la société dont le logo est identique dans sa symbolique au moulin avec ses 4 pâles, le swastika etc, dont le "système" se retrouvait donc bloqué. C'est une mise à jour défectueuse de la plateforme de cybersécurité Crowdstrike Falcon Sensor qui en serait la cause, or leur logo présente l'oiseau de feu frappant le monde, tel l'éclair, tel le Grand Chasseur, marquant la proche venue du Libérateur.




Pour éviter tout malentendu, je rappelle qu'il ne sera pas forcément président pour autant aux prochaines élections, pour les raisons déjà évoquées dans le précédent article, et que nous ne le soutenons d'aucune manière puisque seule la symbolique universelle à l'origine des événements est traitée ici.


Merci pour votre lecture,

Metaphi